Il y a eu nos deux âmes, Deux chemins qui se croisent Rêvant de liberté. On n'était pas à vendre, mais on pouvait revendre des montagnes d'amitié Le cœur en bandoulière, et les bras grands ouverts à tous les étrangers On n'avait pas de peur, on sentait la chaleur qu'on savait se donner Même au fin fond du désert, ni la soif ni la peur ne pouvait nous faire taire Même au milieu des chimères On y croyait plus fort quand le courage manquait. Oh toi mon compagnon, mon ami de jeunesse Quelques soient nos histoires, je n'oublierai jamais Qu'un beau jour javais fait pour nous deux la promesse Si il n'en reste qu'un nous serons ce dernier On était plein d'ardeur, mais on sortait vainqueur de nos pauvres blessures Quand les peurs étaient lourdes, on se trouvait toujours un ton qui nous rassure On avait tant d'envie, qu'on voyait notre vie comme une belle aventure On n'avait pas de maître, la seule à nous soumettre était la mère vertu On voyage depuis dix ans, tout en restant sur terre on a tellement vécu Partagé de grands moments, des échanges et des mots dont je nme passerais plus Oh toi mon compagnon, mon ami de jeunesse Quelques soient nos histoires, je n'oublierai jamais Qu'un beau jour javais fait pour nous deux la promesse Si il n'en reste qu'un nous serons ce dernier Pour ce jour danniversaire, qui méloigne de toi je viens par la pensée Te redire combien tu es, un soutien, un moteur pour toute ma destinée Oh toi mon compagnon, mon ami de jeunesse Quelques soient nos histoires, je n'oublierai jamais Qu'un beau jour javais fait pour nous deux la promesse Si il n'en reste qu'un nous serons ce dernier Oh toi mon compagnon, mon ami de jeunesse Quelques soient nos histoires, je n'oublierai jamais Et aujourdui encore je te fais la promesse Que malgré mes trous d'air je ne lacherai jamais L'amitié, l'amitié